Cette nuit, j'ai fermer les yeux et découvert un monde encore inconnu des autres. Je me doute que c'est un rêve. Comment? Tout simplement car je n'est pas une vie parfaite.
Dans ce petit monde, je voyageai au son de ma guitare et du violon de mon amie. Jouer était pour nous le seul intérêt de notre vie et personne ne nous forçais à faire ce que nous ne voulions pas.
Je me dis souvent que la vie de mon amie est mieux que la mienne. C'est ce que je pense réellement. Elle est jolie, douer, apprécier de tous. En plus de cela, elle est gentille et attentionnée. Sans parler de son talent pour le violon.
Nous avons toutes deux commencé lorsque nous étions petite. Et c'est notre passion pour la musique qui nous a beaucoup rapprocher.
Je suis heureuse de l'avoir rencontrer. Elle me rend le sourire quand rien ne va plus. Elle me comprend et m'écoute.
Elle m'écoutait dans mon monde. Je lui évoquais les souffrances que j'avais vécu lorsque j'étais encore chez mes parents. Elle les connaissaient déjà. Certes. J'aimais lui parler, me confier à elle.
Elle me répondit que je n'avais pas à m'inquiéter de ce qui pourrais ce passer. Quelle serait toujours présente pour moi. Elle me rassurait.
Nous nous sommes mi à jouer tout de suite après, au milieu de ce pré plein de fleurs et inondé de soleil. Nous étions seule. Et pourtant, j'avais l'impression que l'on nous observait. Je n'avais pas peur. Non. J'étais heureuse. Heureuse que l'on écoute notre musique. L'harmonie de nos deux instruments.
Mon amie arrêta de jouer subitement. Mais elle souriait. « Tout est possible ». C'est les mots qu'elle a prononcer. Le ciel changea de couleur et le paysage se transforma. Je me trouvais à présent dans mon lycée et nous étions entouré de tous plein d'étudiant que je ne connaissais pas. Ils voulaient que nous fassions notre chanson.
Puis, une nouvelle fois, le paysage se transforma et je me trouvais à présent sur scène. C'était une scène immense. Les spectateurs applaudissaient le plus fort possible et je voyais mon image dans les écrans accrocher au bord de la scène.
Une fois de plus, le paysage changea et je me trouvais dans le hall du lycée. Les élèves me bousculait sans faire attention à moi. Comme si je n'existais pas.
C'est alors que je compris le sens de cette phrase et ferma fort les yeux, pour les ouvrir dans le monde réelle. Un monde, qui m'offrais un nombre inespérée de possibilité. Il ne me suffisait que de choisir laquelle je souhaitais.