one shot inutile parce que je me fais chmire et que j'ai la flemme de réviser

Bonjour!
Je suis un ours.

Bref, plus sérieusement, je viens de finir la saison deux de game of throne et... JE VEUX LA SUITE!!!!!! et je veux pas aller en physique. Bref.
Voilà un petit one shot réalisé grâce a un de mes personnages préférés de la série, libre a vous de deviner lequel.

Je suis quelq'un de moche. Un monstre a la chevelure blonde venitienne, presque rousse, je suis repoussant, mais heureusement pour moi, je suis né dans une bonne famille. Enfin, disons plutôt, dans une riche famille, car je ne peux pas dire que nous soyons très soudés... Mon argent m'a permis d'être aimé, ou du moins d'être aimé l'espace d'un court instant, aussi court que moi, c'est pour dire.
Je suis respecté parce que ma famille l'est, et toute les prostituées des sept royaumes me connaissent. Car oui, j'aime les femmes, j'aime vivre, et je dois dire d'ailleurs que la basse estime que ma famille à de moi m'a permis de le faire sans aucune reproche. Mon frère et ma soeur ne pourrons se vanter de s'être autant amusé que moi dans leur vie, alors que bon nombre de personne voudraient être à leur place. En fait, je ne les envie pas.
Ma richesse m'aide, dans le sens où les gens qui sont obligés de passer du temps avec moi car je les paye finissent par m'apprécier outre les apparences. Ou en tout cas, il font semblant. J'ai finit par m'y habituer, et maintenant je profite des choses même si des fois, leur hypocrisie me rend malade. Mais les gens ne seront jamais aussi hypocrites avec moi qu'avec le reste de ma famille.
Tout ça pour dire qu'on ne m'a jamais aimé. On m'a fait croire qu'on m'aimait, dans le passé, mais ce fut une machination montée de toute pièce par mes frères et soeurs, et j'appris à mes dépends que encore une fois, tout n'était qu'hypocrisie.
Du coup, je me suis dit que quitte a ce que les femmes soient hypocrites avec moi, autant en profiter, et j'ai donc écumé tout les bordels des grandes villes en m'amusant comme jamais. Je savait très bien que quand je partirais, elles s'amuseraient avec d'autre tout comme elles l'avaient fait avec moi... Mais bon, je m'en contentait.
Seulement je suis quelqu'un qui aime avoir de la compagnie, c'est pourquoi où que j'aille, j'engage une prostituée. Et nous sommes en temps de guerre.
Mais pour moi, celle qui m'a suivie ici, à la capitale, est différente. Je la trouve magnifique, ce n'est pas que je trouvait les autres moche, certe, mais elle... J'aime me perdre dans ses yeux noisette, j'aime l'entendre rire.
Je suis tombé amoureux d'elle.
Moi, l'homme que tout le monde n'aime que pour son argent, le monstre...
Je suis tombé amoureux d'elle, alors que je l'ai payé pour rester avec moi!
La guerre fait des ravage. Je ne suis qu'un demi homme, et pourtant je me suis lancé dans la bataille a la place de mon neveu le roi. Il le fallait pour défendre la ville, même si au fond de moi je pense que c'est surtout pour leur prouver à tous que moi aussi je suis un vrai lion.
"My lion" c'est comme ça qu'elle me surnomme. Elle me le chuchote au creux de l'oreille avant qu'un sourire s'étire sur son visage. Et quel visage! tout l'inverse du mien. Hier soir, avant la bataille, elle m'a fait l'amour comme si c'était mon dernier jour. C'est ce que je lui avait demandé en l'engageant, et elle s'en est souvenu. Ça a été l'une des plus belle nuit de ma vie; toutes les autres ayant été passé avec elle. Maintenant que la guerre à déformé mon visage, qui n'était déjà pas un exemple de beauté, je n'ai plus rien à lui offrir.
A part de l'or, ce pour quoi les gens m'apprécient.
Dès que je la reverrais je la laisserais partir; loin de moi, loin de la guerre. Je la payerais et la regarderais s'en aller.
Je sens les larmes me monter aux yeux rien que d'y penser. Je ne veux cependant pas lui imposer ma présence plus longtemps, mon seul souhait étant maintenant qu'elle soit en sécurité, même si cela implique de ne pas la revoir...
La voilà qui entre dans la petite chambre dans laquelle je suis allongée. Elle est ravissante avec ses yeux noisettes et ses cheveux noirs bouclés! Je la voie s'approcher de moi et me sourire. A chaque fois il me semble que ce sourire est vrai, et je prierais pour qu'il le soit, pour que tout ce que nous vivons depuis qu'elle m'accompagne soit autre chose qu'un simple contrat pour elle!
Elle veut voir sous les bandages qui cachent ma figure, mais je ne me laisse pas faire. Quitte a ce qu'elle parte, autant que ce soit avec une image un peu plus... respectable de moi.
Finalement, je la laisse faire. Elle défait mon bandage et me regarde.
Je suis affreux.
Encore pire qu'avant, je veux dire. Même elle le dit.
J'ai un pincement au coeur. Puis, prenant mon courage à deux mains et malgré la tristesse qui commence à m'envahir, je lui explique que je la payerais et que maintenant, elle était libre de partir.
Elle se mit à rire. Pourquoi riait-elle?! Se moquait elle de moi, comme tant d'autres l'avait fait avant elle? J'ai l'impression qu'on me plante un couteau dans le coeur. Je m'y attendait, et cependant j'avais eut le maigre espoir qu'elle m'aime elle aussi...
Puis je relève la tête. Oui, elle se moquait de moi, mais pas de la façon dont je m'y attendait: elle me traite de pauvre petit homme riche qui est obligé de payer les gens pour qu'ils rient à ses blagues!
Même dans les pires moment, elle arrive à me faire rire. Elle est la seule qui a du caractère, qui n'accepte pas tout ce que je lui demande, la seule qui vit sa vie tout en s’intéressant à la mienne comme une véritable amie.
Son sourire était vrai.
Tout était vrai.
Elle ne veut pas d'argent, pas de gloire, elle veut juste que l'on reste ensemble, côte a côte.
Elle me dit même qu'elle renonce à son retour dans son pays natal pour rester à la capitale, a mes côtés.
Elle me dit qu'elle est mienne.
Et que je suis siens.
Et cette fois, je ne peux me retenir de pleurer.

Et voilà! trouver le héros n'est pas bien dur, maintenant il faudrait me trouver la scène et l'épisode ;P
Bonne chance!!

Waaaaah! Chou!

Je sais que tu sais que je sais qui c'est (à prononcer le plus vite possible svp) donc je n'écrirai rien ici pour ne pas gâcher le "jeu" aux autres.
Mais c'est trop bien! D'ailleurs, en me baladant dans un espace culturel avant hier, j'a vu le coffret de la saison 2 (à côté de celui de la saison 1), tous les intégrales et les BD... du coup, j'ai ressorti le tome 1 (que j'ai kidnappé à mon copain et que tu veux, gnagnahah!) et me suis dit qu'il allait falloir lire tout ça.

Parce que Tyrion est quand même, du peu que j'ai lu, l'un de mes personnages préférés.

Pourquoi ne pas nous écrire un petit one-shot (à la base j'avais écrit one-shit -_- pardon) de bonne humeur comme celui-là, mais avec Jon et son copain trouillard que j'aime bien mais dont j'ai oublié le nom?
Siteuplait? Je sais que tu les aime bien, alleeeeeeez! ^^

Ok, j'en écrirais un, promis!
Et dis moi, t'en a fait exprès de balancer le nom ou tu es blonde?! je rigole! le plus dur est en fait de trouver la scène racontée... Dis à ton copain d'essayer (et de me passer les bouquins pour cet été silteplaitmerci) voilà!

J'ai compris de qui il s'agissait au bout des trois premières lignes!
It's the half-man from the House of the Lannisters... Et dernier épisode de la saison 2. Easy je vous dis! ^^

Ça pue. Tout pue ici. Les imbéciles qui viennent du Nord, mes entraves, ceux qui sont au sud, mon parcours jusqu'ici - plutôt devrais-je dire ma déchéance - ainsi que le futur qui m'est promis. Si futur il y a.

Je n'ai jamais été homme à me laisser aller au désespoir. Je n'ai pas été éduqué ainsi. Mon entrainement aux arts de la guerre ont débuté alors que j'avais cinq ans. Et heureusement. Petit, seul ma soeur ma soeur avait la capacité de me supporter. Je l'ai toujours dit: "j'ai de la chance d'être né où je suis, né; car si ça n'avait pas été le cas, j'aurais été un moins que rien."
Je ne sais faire qu'une chose bien: me battre. Du reste... Ma soeur et mon père s'occupait du reste. Aujourd'hui... tout a changé. Pieds et poings liés à me faire trianer dan sla boue par une espèce de... De... Cette... Je ne saurais même comment qualifier mon bourreau.
Quelle humiliation... Après toutes les gloires que j'ai connu, être obligé à marcher, marcher, marcher, et encore marcher ataché par cette... femme. Si on peut la qualifier ainsi.

Je ne le supporte pas.
Elle n'a rien des vrais femmes, et pourtant, il paraît que s'en une. Elle me rapelle de temps à autres mon 'frère'. Leur antagonisme est transcendant, cependant ils se rejoignent dans la difformité. C'est répugnant.

Bien loins est le temps, où j'étais heureux, à Port-Réal, avec ma douce soeur, son ivrogne de mari que je me délectais de regarder crever à petit feu dans les bras des putes qu'il étouffait presque avec sa biasse monstrueuse, nos enfants, et la cour... Tous à la fois me craignaient. Donc me respectaient. Le roi, le prince, le paysan, l'artisant... Personne ne peut même oser imaginer le bonheur que je ressentais en ce temps-là. JE pouvais faire ce que je savais et aimais le mieux: tuer. Et au nom du roi, donc le plus légalement du monde.
Cersei, plus belle et plus forte de jours en jours, me comblait de bonheur. Mon père, à Castral Rock, ne m'a jamais posé aucun soucis. Je m'amusait de temps à autres à torturer ce qui me sert plus ou moins de frère.
Un espèce de petit paradis terrestre rien qu'à moi.

Mais ces paysans de Nordiens, plus attachés que jamais à leur grandes illusions dont ils nous rebattent les oreilles, ces putains de Nordiens ont fait irruption dans mon monde à cause de mon très gras beau-frère. Et tout est fini.

Je me retrouve trainé pendant des semaines dans la boue mêlée à leur merde, puis je suis ensuite enlevé! Moi, le Régisside, le chef de la Garde Royale, le meilleur manieur d'armes de tout le royaume, celui qui a remis le Traître du Nord à sa juste place, je suis enlevépar un monstre musculeux, insensible, en armure, et qui n'a de féminin que l'entre-jambes!
Je ne trouvais pas la situation si humiliante que ça, avant de me rendre compte que me débarasser d'elle était une chose si aisée que mon orgueil me le suggérait.
Cette situation me rend fou. J'ai besoin de ma liberté. Et je la reprendrai, dûs-je en mourrir!




Alors? Lui aussi c'est easy!